Scénario pour Magna Veritas ou Anarchie Divine, se déroulant dans le milieu sauvage et impitoyable de l'université... On demande pour ce faire entre 3 et 6 joueurs avec persos débutants et un Déhemme n'ayant pas froid aux oreilles.
Ce coup-ci, ça va chier! pensa Anatole Grubier en ouvrant l'édition rarissime du Liber Daemonorum édition revue et augmentée par Popol Magnus, le fameux Mage de Saint-Remy-les-Chevreuses (ce dernier ayant -- paraît-il -- conjuré Baal une fois de trop...). Il alluma sa bécane, partit chercher la disquette noire sans titre qu'il avait scotché sous sa poubelle, déplia son pentacle maléfique (sa mère avait horreur qu'il dessine à la craie sur la moquette...) et lança le programme "Conjuration". L'écran de la machine s'emplit de signes étranges, alors qu'il éteignit la lumière.
Ils vont bien voir... Je t'en foutrais, moi, des "nul en programmation"...
D'un seul coup, la chaîne Hi-Fi d'Anatole cracha les paroles maudites de l'invocation:
- "O, toi le Prince de la Technologie, Baron du Cyanure et Capitaine du Béton Armé, Chevalier du Moteur à Explosion, Créateur infernal des Lois de Murphy, toi qui programme dans les Ténèbres Abyssales, répond à mon appel et viens, je te l'ordonne..."
Y'a pas à dire, ça rend pas mal! Malgré tout, il n'y croyait qu'à moitié; et pourtant, Popol Magnus ne disait-il pas dans ses notes qu'il avait réussi à appeler Andréalphus himself par Minitel?.. L'incantation se répeta. Encore, et encore... À la treizième fois, Anatole commença à en avoir ras-le-bol et tendit la main vers le clavier. À ce moment, l'incantation cessa net, en même temps que retentit une fois sévère:
- "Bon, tu en as assez? ça tombe bien, moi aussi!.. Tu m'as appelé, maintenant tu m'as. Alors qu'est-ce que tu veux?.."
Anatole faillit sauter, lui et sa chaise, hors du pentacle. Heureusement, il ne le fit pas. L'homme -- l'homme? -- qui avait éteint sa chaîne stéréo était plutôt petit, assez âgé, semblait-il; seule en fait une blouse blanche de laborantin apparaîssait clairement dans la pénombre.
- "Ahgeubeuhfleuh?..", prononça Anatole...
- "C'est pas une réponse, ça... Alors?.. Tu sais que tu es un drôle de rigolo, toi?.. J'en ai déjà vu, des sorciers, mais alors des qui s'assoient au milieu d'un pentacle et qui lance des invocations sur mon numéro de téléphone privé, alors là jamais... Bien! Je suis là, je répete ma question: QU'EST-CE QUE TU VEUX?"
- "Ben, m'sieur, c'est-à-dire que j'ai bientôt mes exas, et pis j'ai rien préparé, alors j'pensais aller trifouiller dans l'système administratif..."
- "Ben tiens... Faut arrêter de regarder Mac Gyver à la télé, mon gars... Ceci dit, je crois que je n'ai pas le choix, pas vrai?.."
- "Euh... j'm'excuse, m'sieur..."
- (Gros soupir)"Admettons... Tu m'excuses, mais j'ai du boulot, je ne pourrais pas t'aider moi-même. Mais rassures-toi: j'honorerai mon engagement. Je vais t'envoyer sur-le-champ mes deux meilleurs acolytes. Ils te prêteront main forte pendant un mois lunaire, pas plus... C'est bien compris?.."
- "Voui m'sieur, merci m'sieur..."
L'écran de l'ordinateur explosa, envoyant un feedback dans la chaîne Hi-fi, qui déclancha un splendide larsen-basse avant d'exploser à son tour. Les plombs sautèrent, la mère d'Anatole hurla et Vapula disparut.
- "Alors chef, c'était encore cet emmerdeur de Popol Magnus?.."
- "Non. Il paraît que ce balourd de Baal l'a éliminé. Pour une fois qu'il sert à quelque chose, celui-la... Non, c'était un petit débutant. Un nullos, du genre à ne même pas savoir dessiner un pentacle correct, mais il va me servir! Envoie-moi Asyhk et Njuel, j'ai un boulot pour eux..."
Très simple: un meurtre horrible et inexpliqué vient d'être commis à l'université. Les supérieurs des persos supposent -- à juste titre -- une histoire démoniaque et leur demandent de jeter un coup d'oeil là-dessus.
La victime est Lucien Chobert, chômeur et connu des services de police pour son habilité à la pince-monseigneur... Il a été transpercé d'une vingtaine de coups d'aiguille, du genre poinçon, mais on sait pas trop, de la tête à l'aine. De plus, on dirait que quelque chose lui est passé dessus, comme si son assassin lui avait ensuite roulé dessus... Tous ces renseignements peuvent être obtenus si on a des contacts à la criminelle ou par voie journalistique. Lucien Chobert officiait au sein d'une petite bande de la banlieue et avait de ce fait beaucoup d'ennemis, notamment ceux à qui il chourait mobs et bécanes...
Evidemment, des joueurs très perspicaces (ou à l'imagination particulièrement ravagée) peuvent penser qu'on lui a roulé dessus avec des pneus à clous, tels qu'on en emploie pour la course de moto sur glace. Si on peut en parler avec le médecin-légiste, celui-ci avouera avoir pensé à la question, mais franchement, on est en plein mois d'avril, alors les courses de moto sur glace...
Le meurtre a eu lieu dans le garage à motos de la Faculté des Sciences, le mardi soir vers 22:30. À cette heure-ci, autant dire qu'il n'y avait personne dans le garage, donc pas de témoins... Cependant, en interrogeant à droite et à gauche, ils pourront savoir qui avait l'habitude de ranger sa moto dans le secteur. Quelques autres recoupements intelligents de ce genre et ils pourront aussi apprendre que la seule personne qui gare sa moto à l'endroit en question et qui était à l'uni ce jour-là à 22:30, c'est Anatole Grubier...
Bon, on l'a déjà dit, Anatole a conjuré Vapula pour tenter de lui extorquer le code de l'administration universitaire. Et il s'est planté... Ce qu'on sait déjà moins, c'est le plan ourdi par le Prince-Démon à l'endroit du jeune sorcier. Peu de temps après la conjuration, un Familier prit le contrôle de la moto d'Anatole, alors qu'un autre investissait son vieux "portable" qu'il a l'habitude de trimbaler partout. Grosse surprise pour Anatole, le jour où sa moto et son ordinateur se mirent à lui causer...
Les deux Familiers expliquèrent au sorcier que, pour contrôler le système administratif, il fallait connecter le portable au réseau de l'université, l'esprit démoniaque à l'intérieur ferait alors le reste... Seulement, leur but n'est pas de magouiller les résultats d'examens, mais bel et bien de prendre le contrôle de tout le réseau universitaire, afin de provoquer une jolie petite catastrophe technologique des familles, pour la plus grande joie des petits et des grands. Ainsi, grâce au Programme-Invocation mis au point par Anatole Grubier (qui, l'air de rien, n'est pas si nul que ça en programmation...), ils conjurent de plus en plus de Familiers sous les ordres de Vapula, qui saturent complètement le système informatique et foutent un souk monstrueux...
Evidemment, vous l'aurez compris, le meurtre de Lucien Chobert est dû à la moto, qui n'apprécia pas outre mesure qu'on essaye de la taxer comme un vulgaire solex de curé...
Une fois que les persos auront mis la main sur Anatole Grubier, ils n'auront pas à le secouer très fort pour lui faire cracher le morceau. Ils devront par contre secouer un peu plus fort pour récupérer le grimoire... En résumé, Anatole a lâché le Familier dans le réseau le soir où Lucien s'est fait tuer. Il a promis de le prévenir, mais il ne l'a pas encore fait. Il n'a pas revu sa moto depuis un bon moment (elle s'est barrée la nuit du meurtre) et il supplie les persos à genoux de ne pas le dénoncer au Rectorat ou, pire, à sa mère.
Retour à l'université. Les ordinos commencent tous à devenir doucement dingues, les uns après les autres, au grand dam des étudiants en trains, qui de taper sa thèse, qui de développer son projet de diplôme, qui de faire exploser le high-score d'un jeu quelconque. Si les persos débarquent en catastrophe, mû soit par un pressentiment, soit par les explications d'Anatole, ils trouveront des salles d'informatique en plein délire. Sur les écrans, des icônes grotesques se courrent après, les imprimantes crachent des chapelets de grossieretés, les disquettes sont éjectées des machines avec la force d'une catapulte, tandis que les imprimantes-laser tentent de les abattre en vol. En gros, y'a une bonne ambiance...
Dès que les persos seront rentrés, les portes derrière eux se fermeront automatiquement et seront complètement bloquées. Les lumières s'éteindront tout aussi brusquement. À partir de ce moment-là, tous les appareils électriques du bâtiment seront à considérer comme des dangers en puissance, sans compter les systèmes de sécurité divers. Exemples:
Il reste alors aux persos plusieurs possibilités:
Pendant ce temps, le réseau n'arrête pas de conjurer encore plus de Familiers, à raison d'à peu près un par minute... En gros, les persos ont intérêt à speeder quelque peu, s'ils ne veulent pas se retrouver avec des emmerdes jusqu'aux oreilles!..
Le bâtiment a été construit tout récemment et est de ce fait doté des derniers raffinements, dit "de sécurité", mais plus communément appelés "casse-bonbons"... Il fait quatre étages, plus deux sous-sols et est désservi par deux fois deux ascenseurs, un monte-charge, deux escaliers et deux escaliers de secours. Toutes les portes extérieures et certaines portes intérieures sont mises sous alarme entre 22:30 et 7:30, les vitres sont en Securit blindé, et tout et tout. Bref, ça a tout du blockhaus!..
Au dernier étage, on trouve la direction de la Faculté, le secrétariat des étudiants et toutes ces choses administratives. Les deuxième et troisième étages sont squattés par le Département de Chimie, leurs laboratoires et entrepôts divers, alors que le premier et le rez-de-chaussée sont occupés par des salles de cours et autres amphis divers, ainsi qu'une cafétéria qui, aux dires des étudiants, doit être gérée par les ordinos du premier sous-sol, tant sa bouffe est insipide...
Car au premier sous-sol, il y a le Centre Informatique de la Faculté. Quelques salles en accès libres, avec terminaux, PC et stations graphiques, et surtout, au-delà du périmètre de sécurité protégé par une serrure à carte magnétique, les grosses bécanes et leurs périphériques, ronronnant doucement sous la lumière des néons... C'est évidemment ici que le bordel ambiant atteint son paroxysme...
Au deuxième sous-sol, d'une certaine manière, c'est plus calme... On trouve ici la chaufferie, les armoires électriques et les dispositifs anti-pannes de courant, plus quelques autres babioles, tel qu'on peut en trouver dans toutes les caves: vieilles tables et chaises, cartons vides, etc... C'est ici que se trouve, l'air de rien, la moto d'Anatole, qui monte innocemment la garde à-côté des armoires électriques...
À partir du moment où les persos seront à l'intérieur, les portes se fermeront et se verrouilleront automatiquement, mais ils ne s'en apercevront qu'au moment d'essayer de ressortir. À eux maintenant d'essayer de sauver la situation, en sachant que le but final de Vapula est de faire sauter le Département de Chimie et de répandre dans toutes la ville des cocktails gazeux à base de soufre, de chlore, de cyanure, d'arsenic et quelques autres joyeusetés radioactives. Dommage que le Département de Biologie ne soit pas dans le coin: il aurait bien répandu aussi le virus de la peste, ça aurait fait plaisir à Malthus...
Une des priorités sera de faire sortir les pauvres étudiants, assistants et professeurs paumés dans le bâtiment (quelques scènes d'anthologie, du style: "Je ne peux pas abandonner mon expérience en cours, toutes ces années de travail..." contribueront un peu plus au stress ambiant...). Vu que tout l'immeuble est comme devenu fou, ça va pas être de la tarte.
Ensuite, il faudra se charger de l'ordino...
Tonton Alias, mesquin parmi les mesquins, vous conseille, cher Maître de Jeu, de chronométrer le final, histoire de faire flipper encore plus les joueurs et ainsi les forcer à réagir vite. Ça devrait réveiller les endormis de service et ajouter à l'intensité dramatique une touche de "Mission Impossible" qui n'est pas faite pour me déplaire...
Dehors, les pompiers font un gros bordel, comme normal... Les flics et les ambulances se croisent dans un grand chatoyement de gyrophares et de sirènes. Avec en plus le soleil qui se lève, c'est beau!..
Si ledit soleil se lève sur une Faculté en ruine et est voilé par d'horribles nuées, c'est une défaite sans appel. Les persos ont échoués, snif!..
S'ils ont réussi en partie à empêcher la destruction du bâtiment et qu'ils ont sauvés un maximum de pauvres innocents, ils repartent avec une victoire marginale et des boutons plein la gueule...
S'ils ont réussi à latter les Familiers avant qu'ils n'arrivent à semer leur crème, c'est une victoire normale. Bravo!
Si en plus ils ont réussi à comprendre le pourquoi du comment de tout ce bordel (le meurtre de Chobert, la magouille d'Anatole, etc...), ils ont atteint, non pas le Septième Sens, mais la Victoire Totale sur les Forces Démoniaques!.. On les applaudit bien fort!
Rideau.
FO: 1 AG: 2 AP: 1 VO: 3 PE: 2 PR: 3
Talents: Lecture +1, Ecriture, Invocation, Informatique +1, Moto, Baratin, Course.
Sorts: Invocation (Prince-Démon), Invocation (Familier), Demande (Prince-Démon), Demande (Familier), Vrai nom.
Description et comportement: Anatole n'est pas tout-à-fait ce qu'on pourrait appeler un étudiant doué. Passionné par l'histoire et l'occultisme, il aurait bien fait Théologie si ses parents ne l'avait pas poussé à aller en Informatique, sous le fallacieux prétxte que c'est à la mode. En passe d'échouer pour la troisième fois à ses examens, et donc de se faire jeter de l'université, il avait le choix entre fuir la demeure familiale et faire une connerie...
Physiquement insignifiant (tronche quelconque, cheveux gras et fringues ridicules), il cache cependant une grande érudition. On ne le voit que très rarement aux cours, car il zone le plus souvent à la bibliothèque d'histoire au aux archives. On pourra cependant remarquer que, depuis quelques jours, ses notes de programmation ont subitement remonté d'une manière assez spectaculaire.
Pris à partie par des Anges, il y a une chance (jet de VO "très difficile") pour qu'il se rende compte à qui il a affaire et qu'il se mette à paniquer, avouant tout aux persos et implorant leur pardon à genoux... Par contre, face à des Humains, il sera nettement plus coriace, allant même jusqu'à leur envoyer un ou deux Familiers méchants sur le râble, histoire de les calmer.
FO: 3 AG: 3 AP: 2 VO: 2 PE: 2 PR: 2 PP: 7
Talents: Moto +1, Corps-à-corps +2, Esquive +1, Japonais +1.
Pouvoirs: Griffes +1 (longues), Vitesse, Augmentation temporaire d'Agilité +1.
Description et comportement: Asyhk est une magnifique Kawasaki 600 Enduro bleue métallisée, avec toutes les options possibles et imaginables. Ancien Démon redescendu au rang de Familier à cause d'une connerie, il est prêt à tout pour reconquérir son ancien rang. Et si ça signifie "tactique kamikaze pour éliminer les adversaires", alors: "Banzaï!.."
FO: 2 AG: 1 AP: 1 VO: 4 PE: 2 PR: 4 PP: 9
Talents: Informatique +3, Chimie +1, Electronique, Discussion +1, Tactique +1.
Pouvoirs: Télékinésie, Talent scientifique, Contrôle des Humains, Non-détection, Mégalomanie.
Description et comportement: ce gros poussah n'est autre qu'un virus informatique haut-de-gamme: il a déjà à son actif la NASA, le KGB et la Banque de France. Complètement mégalo, il se prend pour un tacticien informatique de grande classe, se comparant souvent à Goering et adoptant alors accent et poses dans la grande tradition teutonique... Si quelqu'un à le malheur de venir le chatouiller dans sa tanière (l'ordinateur central), il esayera d'abord de l'envoyer sur une voie de garage, ou alors de le contrôler, et si enfin ça ne marche pas, de lui télékinéser les touches du clavier à la gueule...
L'Enfer possède depuis longtemps un système informatique complexe pour pouvoir gérer les problèmes quotidiens et les horreurs prévues pour le pauvre monde. Ce réseau a toujours été confié à Vapula, surtout parce qu'il était un des rares Princes à ne pas traiter les ordinateurs par le mépris, voire la violence (du genre à frapper "Enter" avec une hache maudite à double tranchant...). Lors des Temps Héroïques, le système d'exploitation était du type DEMONIX, mais sa lourdeur et son incapacité à traiter rapidement les gros problèmes a forcé Vapula à mettre en place un système plus convivial, plus simple à comprendre et apte à gérer un réseau toujours grandissant, avec l'arrivée ordinateurs personnels. Ainsi est né le DOS, Demonic Operating System (c) Vapula 1980.
Interface graphique composée d'icônes et de menus déroulants, elle a la particularité d'être à base de Technologie pour 10%, de Magie pour 10% et de Familiers pour les 80% restants... Eh oui, les ordinateurs démoniaques fonctionnent grâce à des Familiers, mineurs soit, mais c'est mieux que de se retrouvrer chez Scox... Par conséquent, chers lecteurs, je vous laisse imaginer le bronx qui règne en général sur ce micro-univers qu'est SataNet, le Réseau Infernal... Chaque station a comme chef le Système, qui désigne à ses subalternes les tâches d'applications (les programmes). Tout cela est régi par le Bureau, qui se charge de la police interne, zappant les récalcitrants à grands coups de zeroing (mises à zéro des compteurs)...
Pour l'utilisateur, ça donne à peu près ça..: dans un premier temps, on se retrouve face à une interface simple, mais peu à peu, les choses s'animent: les icônes bougent, deux yeux inquiétants sortent de temps à autre de la poubelle, etc... Et puis d'un seul coup, ça se déclanche: une forme sort de la poubelle et avale l'icône la plus proche de lui; un rot numérique sera la seul epitaphe du fichier défunt. Puis, ce sera au tour des icônes de faire des gestes obscènes, ou de se balader sur l'écran en une sarabande ridicule. Parfois, une porte marquée "Bureau" s'ouvrira dans le néant du fond et trois canons foudroieront sur place une icône trop gonflante. En bref, tout travail deviendra de plus en plus pénible. Il se peut même que l'écran s'éteigne pendant un certain temps, pour cause de coup d'état... Au redémarrage, le Système aura une nouvelle icône (celle d'une ancienne application, voire le plus souvent celle du Bureau...) et il y aura aussi eu un certain remaniement dans les autres programmes...
Bref, tout ça pour dire que les non-habitués du DOS peuvent s'accrocher pour travailler avec. Ça signifie en clair: "malus de 3 colonnes"... En fait, si on veut arriver à travailler correctement, il faut pousser un gros coup de gueule, de préférence en langage démoniaque...
In Nomine Satanis / Magna Veritas est un jeu de Siroz / Idéojeux. Il est copyrighté et trademarqué comme c'est pas permis, et je suis sûr qu'en publiant tout ça sans autorisation, je risque l'atomisation par Croc et ses collègues. Je réclame cependant l'indulgence du jury: ce travail a été fait à titre absolument gracieux, je ne compte pas en tirer quoi que ce soit et je ne prétend pas à une reconnaissance officielle. Ces pages sont là pour votre amusement, et je serais forcé par mon éthique d'amateur de refuser toute contribution financière. Et arrêtez de rigoler quand je parle...
Note annexe: bien que cette version ne sera pas remise à jour, d'autres ont repris le flambeau: Anarchie Divine 2002. Et c'est très bien!
Commentaires: Stéphane "Alias" Gallay -- Ou alors venez troller sur le forum...